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Mes premiers souvenirs du Meccano

C’était juste après la guerre, en 1946, nous venions d’arriver à Bernay et étions installés dans une maison où il y avait encore des traces des bombardements.

Je n’avais pas encore six ans et les jouets étaient encore fort rares.

Mon père avait sorti une caisse en bois d’un placard : c’était un très vieux Meccano et, sous mes yeux émerveillés, il a commencé à construire…

Ce n’est qu’à mon réveil, le lendemain, que j’ai découvert, sur l’étagère de la cuisine, un manège, il y avait même un moteur que l’on remontait avec une clé comme une pendule.

Alors tout le manège tournait... Il y avait une voiture, une moto, un avion et un cheval.

 

         

 

Avec du recul, c’était un tout petit modèle, et le moteur JeP, en laiton, avait bien du mal à entraîner l’ensemble. Mais avec mes yeux d’enfant, cela semblait extraordinaire.

Peu après, mon père a ramené un moteur électrique : un gros moteur universel, bleu, acheté d’occasion que l’on branchait directement sur le 110 volts.

Il a fallu des heures, à mon père, une lime à la main, pour pouvoir fixer une poulie Meccano sur l’arbre du moteur initialement trop gros.

Mais après, quel plaisir de voir tourner le manège, sans à-coups et sans remonter le moteur toute les minutes.

Aujourd’hui, je me rends compte que c’était un Meccano de 1920, période nickelée, sans doute une boîte N°3 avec quelques roues dentées.

 

Plus tard, lors de vacances chez ma grand-mère aux Sables-d’Olonne, celle-ci me raconta l’histoire de ce Meccano.

Dans une famille modeste des années 20, bien peu de jouets étaient offerts aux enfants.

C’est une voisine, qui ayant pris mon père en affection, lui donna le Meccano et le train de son fils devenu trop grand pour s’y intéresser encore.

Et c’est devant la porte de la maison, sur le trottoir, que papa qui avait alors une dizaine d’années, avait pris l’habitude de construire des modèles de plus en plus élaborés.

Et il était tellement fier, lorsqu’un passant s’arrêtait pour admirer la réalisation du moment !

 

Devant l’intérêt que je portais à son Meccano, papa ressortit d’une autre caisse, son vieux train mécanique, un JeP de 1920.

 

Le manège fut démonté et quelques accessoires pour le train furent construits… un pont, une gare et beaucoup d’autres choses. Je me souviens du klaxon et des petites ampoules.

Une lamelle en laiton, récupérée sur une vieille pile, était placée sous l’un des rails, alors, à chacun des passages du train, tout s’allumait et le klaxon émettait un son strident.

 

 

Avec ce Meccano nickelé, il y avait un manuel sans couverture… C’était le gros manuel de 1926. Il y avait aussi un petit catalogue de 1931 qui m’a toujours fait rêver.

Il y avait tellement de pièces extraordinaires, moteurs, machine à vapeur, pelle d’excavateur et tant d’autres choses.

 

Vers 1928, il vint un temps, où ayant fait le tour de ce qui était réalisable avec son lot de Meccano, mon papa se mit à rêver devant les modèles plus complexes de la fin du manuel.

A cette époque, les Nouvelles-Galeries avaient un rayon consacré au Meccano.

On pouvait y acheter des pièces de Meccano au détail… mais encore fallait-il trouver de l’argent de poche.

Aidé de son jeune frère et de quelques amis, mon père allait ramasser les os sur la grande place près de chez lui, après les fréquents passages des cirques et de leur ménagerie.

Le chiffonnier du quartier rachetait, pour quelques sous, ces os ainsi collectés.

Et c’est comme cela, cirque après cirque, os après os, que de nouvelles pièces vinrent compléter ce Meccano.

Entre autres, d’autres roues dentées et une flasque circulaire à rebord N°118 de 5 3/8", en 1928 elle était rouge.

La présence de cette seule pièce rouge dans le lot acier-nickelé et laiton m’avait toujours étonné.

 

Cette histoire augmenta à mes yeux la valeur du Meccano de mon papa et lorsqu’au Noël de mes sept ans, la caisse de Meccano me fut officiellement attribuée.

Ce fut un moment extraordinaire.

J’inventais des mécanismes de plus en plus compliqués… peu importe s’il ne servait à rien, il fallait que des engrenages soient en mouvement dans chacun de mes modèles.

A mon anniversaire suivant j’eus droit à un moteur mécanique : un vrai moteur Meccano N°1A, pas le moteur JeP-ECEPE si poussif dont je me contentais jusqu’alors.

Le vieux manuel de 1926 de mon papa me donna des tas d’idée pour utiliser ce moteur et le manège d’avion fut le premier modèle que l’on construisit.

Il manquait deux pales d’hélice, mais une vieille boîte de biscuit nous fournit tout le fer blanc nécessaire pour les découper.

 


Et puis au Noël suivant, la grande surprise, une boîte Meccano N°7, la plus grosse boîte disponible en France dans l’après-guerre.

Avec du recul, je pense que mon papa a voulu autant me faire plaisir que réaliser ses propres rêves d’enfant, un retour nostalgique vers une époque révolue.

Nous avons passé de longs moments ensembles à construire des tas de modèles.

Surtout des grues, de plus en plus complexes, dans les limites des possibilités de notre lot de Meccano (C’était encore la période du Bleu Quadrillé et Or).

 

La boîte ci-dessous est une boîte N°8, elle n’a été distribuée en France que l’année suivante.

Elle est très proche de ma boîte N°7, avec ses deux étages et son compartiment spécial pour la chaudière.

Mais au Noël précédent il n’y avait pas encore de pneus disponibles chez Meccano et les roues d’auto étaient encore vertes.

 

                            

 


Un jour, le ressort du moteur mécanique a cassé. J’étais catastrophé, mais tout était simple à l’époque.

Mon père a renvoyé le moteur à l’usine Meccano et une semaine plus tard il nous est revenu réparé.

Au Noël de mes dix ans, j’ai eu un train électrique Hornby. C’était un modèle de base mais pour moi, c’était un rêve inespéré.

Le ressort du vieux train JeP avait rendu l’âme depuis longtemps et les wagons étaient en bien piètre état.

 

 

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Mes années à Caen

 

Le Meccano et le train électrique ont été mes jouets favoris pendant des années encore, mais il arrive un âge où l’on a d’autres préoccupations.

Pourtant, pendant mes années d’étudiant à Caen, j’ai découvert deux magasins merveilleux où tous les rêves d’un jeune Meccano pouvaient se réaliser.

Il y avait "LEGOU-Sport" et "AU BALLON ROUGE".

Toutes les pièces existantes étaient visibles dans un grand présentoir et on pouvait se les procurer au détail en remplissant une feuille spéciale.

 

                

 

Je ne jouais plus au Meccano, et pourtant pendant ces années à Caen j’ai acheté de nombreuses pièces.

Mon rêve, était de réaliser les Super-Modèles du vieux manuel N°26 de mon père. Et pièce après pièce, j’ai accumulé toutes celles qui me manquaient.

Il fallait remplir un formulaire-tarif de quatre pages pour passer commande, il y avait toute les pièces Meccano disponible, mais aussi celles de Meccano-Elec.

Mais, à mon grand regret, la plupart des pièces qui me faisaient rêver sur mon vieux catalogue de 1931 n’existaient plus…

Pas de pelle d’excavateur… pas de navette de métier à tisser… !

Au début des années 1960 il y avait encore beaucoup de pièces bleu-quadrillé et aussi des pièces bleu uni.

Il était impossible de prévoir le contenu des sachets de pièces souvent vendu par 3.

Ce n’était pas toujours évident d’avoir une construction bien homogène.

J’avais aussi fait l’acquisition au fil de ces années d’une boîte Meccano-Elec, d’un moteur bleu 110 volts, du moteur EMEBO et d’un moteur Magic.

 

 

Puis un peu plus tard, j’ai complété avec le moteur Richard six vitesse et la Machine à Vapeur Meccano, mais à mes yeux elle était bien loin de celle du petit catalogue de 1931.

 

      

 

Ce n’est qu’une fois professeur et installé dans un petit appartement de Caen, en 1966, que j’ai commencé la construction des Super-Modèles du manuel de 1926.

Je m’étais bien procurer les feuilles des Super-Modèles de la boîte N°10 que Legoux-Sport vendait au détail mais ils n’avaient pas le charme de ceux de 1926.

Mais nombreux étaient les modèles qui nécessitaient, en plus du manuel, des feuilles d’Instructions Spéciales. Où pouvait-on se les procurer au début des années 60 ? …

Contre une somme minime, la société Meccano m’envoya des photocopies, mais qui se souvient des photocopies de 1965 ?... 

Un texte presque lisible et des dessins soit, totalement invisibles soit, barbouillés de noir… il fallait faire avec.

Heureusement, la société Meccano m’envoya aussi l’adresse d’Ulysse Bachelard.

Ce Meccanophile zurichois me donna à travers ses lettres de nombreux conseils et me fournit même quelques photocopies de meilleure qualité.

J’ai su beaucoup plus tard qu’il fut parmi les tout premiers membres du CAM, le Club des Amis du Meccano que je découvris et rejoignis près de trente ans après.

Au cours de ces années à Caen, j’ai construit, successivement, un Meccanographe, un Excavateur à vapeur, un pont roulant et une Horloge.

          

A défaut de photos, il me reste de ce premier Meccanographe quelque rosace conservée entre les pages du manuel.

Il fallait évidemment un moteur pour réaliser ces rosaces car 4 heures à la manivelle c’est long…

 

Compte tenu de l’état des photocopies dont je disposais, c’était un exploit, heureusement qu’il y avait les photos du manuel de 1926.

J’y apportais souvent des petites améliorations, en utilisant mes moteurs et Meccano-Elec.

J’étais très fier de mes réalisations et quand elles étaient transportables, je les emmenais à Bernay pour faire rêver mon père.

A cette époque on ne pensait pas à photographier ses modèles, la photo argentique était réservée aux grands évènements et aux voyages.

Je regrette beaucoup de n’avoir que très peu de traces de ces premières constructions, mais j’ai retrouvé une photo de cette horloge.

Je l’avais complétée, avec une trotteuse et un moteur Richard pour remonter le poids. Un poids de 8 kg en régul moulé dans des boites de camembert.

Que cette photo était maladroite…! Aucune recherche sur le fond et l’éclairage... C’est un ami, Gérard qui maintient le volet ouvert et donne une idée de la dimension.

C’était il y a 55 ans… Avec du recul, c’était de tout petits modèles à côté de ce que l’on peut voir dans les expositions actuelles.

Et quand, ne disposant que des pièces d’une boîte N°10, il fallait toujours tout démonter avant de se lancer dans une nouvelle construction.

Donc pas question de laisser un modèle monté… !

Sauf un… Une balance de précision (merci au boulon pivot de Meccano-Elec) qui est resté montée tout ce temps pour mon petit labo.

 

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Mes années de coopération à Casablanca

 

En septembre 1968, c’est le départ pour le Maroc, avec ma première femme et notre fils Cyrille qui n’a que 9 mois. Je suis nommé à Casablanca où je suis resté quatre ans.

Le Meccano est resté en France et ce furent des années de découverte d’un pays magnifique.

Pourtant dans les marchés aux puces locaux j’ai acheté plein de lots de Meccano et de Märklin pour des sommes dérisoires.

De quoi à réaliser quelques petits objets pour Cyrille qui commençait à marcher.

Après une séparation, et me retrouvant seul j’ai rapatrié tous mon Meccano à Casablanca et entre deux exploration et recherche de fossiles je me suis remis à construire.

Je me suis lancé dans la réalisation du Métier à Tisser. J’avais déjà trouvé des lisses et j’ai bricolé une navette avec les moyens du bord : une tôle en laiton et du plomb.

Et n’oublions pas l’ourdissoir, modèle incontournable pour accompagner le métier à tisser.

 

Ajoutons un gros moteur 110 volts trouvé aux puces et le métier était opérationnel…. Quand la navette ne restait pas bloquée dans la trame.

J’ai suivi les conseils de la notice et j’ai gainé de tôle le passage de la navette et renforcé la puissance des chasses.

Ayant pris pour modèle une navette en bois de 35cm, venant d’un métier à tisser industriel, j’étais bien loin du modèle Meccano.

Ma canette était fixe et se dévidait par l’avant. Il m’a donc fallu inventer un système de bobinage bien adapté à ce type de canette.

Là encore j’ai pu sauver quelques photos. Il n’y a toujours aucune recherche au niveau de l’arrière-plan et de l’éclairage.

 

      

 

Dans ces années au Maroc, j’ai consacré plus de temps à chercher des fossiles qu’à m’occuper de Meccano.:.

 Trilobites du Dévonien, Dents de Requins de l’lnfra-Cénomanien dans les phosphates de Khouribga, Silex taillé du dernier Pluvial… et tant d’autre chose.

J’en ai pourtant trouvé dans les marchés au puce mes premières roues avec des clavettes et deux boîtes Märklin de 1924.

Je ne connaissais que le Nickelé et le Bleu et Or, alors que de questions ?

 

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Le retour à Bernay

 

En Septembre 1972, c’est le retour en France et le début de mes fonctions au Lycée de Bernay comme Professeur de Mathématiques.

Le Meccano a été rapatrié et mis en sommeil, entassé dans un coin, pour un temps.

Mais j’ai évidemment reconstruit la balance de précision (mesure de densité des minéraux) pour mon petit labo de géologie

Ce n’est qu’à la fin des années 1980 que mon Meccano a retrouvé une place fonctionnelle dans un meuble à tiroirs spécialement construit pour lui.

Et au début des années 1990 j’ai reconstruit mes modèles préférés, l’Horloge et le Métier à Tisser en tentant quelques petites améliorations.

Utilisation de volets en plastique transparent pour protéger le mécanisme de l’Horloge et une plaque de plastique blanc, au lieu du carton pour le cadran.

 

            

 

Les photos, toujours argentiques étaient maintenant en couleur, mais toujours aussi rares, lorsqu’il s’agissait de Meccano.

 

           

 

Le nouveau métier à tisser était assez voisin de celui des années Maroc, mais avec quelques améliorations :

Une bobineuse de canette très performante et une navette en acier plus conforme au modèle Meccano.

J’ai construit depuis, des navettes en bois beaucoup plus légère et plus fonctionnelles que les vraie navettes Meccano.

 

Ajoutons à çà l’incontournable ourdissoir le même que celui du Maroc.

 

 

C’est à cet époque que j’ai commencé à exposer dans les salons de Collectionneurs. J’y ai fait de belle rencontre : René Blais, Jeannot Buteux et tant d’autres….

Cela m’a incité à faire des recherches sur l’histoire du Meccano et celle de quelques autres jeux mélangés au Meccano dans les lots, Jean Mergey m’a beaucoup aidé.

Et puis il y avait la boutique de Jean-Max Estève où il y avait toujours quelque-chose à découvrir.

De là à devenir Metallikoconstructophile il n’y avait qu’un pas à franchir.

Pendant ces années j’ai choisi de construire des modèles dans un Meccano respectant strictement les périodes concernées.

En 1994 ce fut les trois modèles de châssis automobile : celui de 1925 en Nickelé, celui de 1930 en Vert et Rouge et celui de 1935 en Bleu Quadrillé et Or

  

De ces modèles je n’ai gardé aucune trace. Trois modèles voisins, de plus en plus perfectionnés et trois moteurs différents.

Cela a été le déclic pour rechercher et étudier les différents moteurs Meccano.

 J’ai reconstruit l’excavateur à vapeur N°19, mais avec des pièces de la bonne période, du Vert et Rouge, et un moteur rouge de 1929.

Faute de godets j’avais laissé de côté cette drague, tout en pièce nickelée, je n’avais trouvé qu’un seul godet, mais avec un modèle c’était assez facile de le reproduire.

 

Puis, vers 1997 est venu ma période moto : une moto pour chaque moment de l’histoire du Meccano et par la suite une moto par jeu de construction.

Ce sont des modèles peu encombrants que je n’ai jamais démontés. Ils me suivaient dans toutes les expositions où je présentais des boîtes anciennes de Meccano et des autres jeux.

Une moto par boîte pour illustrer les diverses périodes du Meccano et les divers jeux de construction présentés.

Du Meccano de 1907 à 2003.

 

Des jeux compatibles Meccano.

Des jeux de construction métalliques meccanoïdes non compatibles.

Des jeux de construction métalliques, d’un principe non Meccanoïde

 

Et même quelques jeux non métalliques… Du bois, mais aussi du Plastique.

Ces petites motos sont toujours là, mais même petites elles prennent beaucoup de place.

Je laisse à chacun le plaisir de trouver l’époque ou le jeu associé à chaque moto. Sinon la réponse est dans le fascicule "La moto à travers les jeux de construction".

C’était une période où, chaque année, en plus de l’exposition du CAM, il y avait l’expo de Rouen où toute une bande de copains se retrouvait pour discuter Meccano.

 

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Pelle à Vapeur ou Excavateur Mécanique

 

Il me reste encore un gros modèle monté, le super modèle N°19a qui associait la pelle d’excavateur Meccano et la Machine à Vapeur de 1929.

 

J’ai construit ce modèle en pièce nickelé, bien que la notice de 1930 fût plutôt contemporaine du Vert et Rouge.

Je possède bien une machine à vapeur de 1929, mais cela aurait été un crime d’utiliser une si belle pièce de collection dans un modèle… Encrassement et oxydation garantie. !

La machine de 1965 est trop longue pour le modèle…

Alors  j’ai démonté une machine de 1965 déjà bien abimée pour n’en conserver que la chaudière, la tubulure et le bloc Cylindre-Piston.

J’ai même ajouté une tubulure pour récupérer la vapeur sortant du cylindre, et l’envoyer dans la cheminée

Avec quelques modification la machine s’est parfaitement adapté à la structure du modèle.

Le modèle initial prévoyait de changer le sens en inversant la position du cylindre. C’est une très mauvaise idée, cela nécessite un arrêt et redémarrage de la machine.

Pour bien fonctionner, une machine à vapeur ne doit pas être stoppée. J’ai donc prévu une inversion de sens mécanique, on n’est pas à 3 roues dentées près.

 

      

     

 

On peut constater sur les photos, la présence d’un petit moteur MO, en fait peu après la construction de cet engin, la vapeur vive a été interdite aux expos.

Alors pour faire des démonstrations du fonctionnement pendant les expositions, j’utilisais du 12 volts pour actionner la machine.

 

 

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